€ 7,5 millions
pour les
sanctuaires
€ 2,5 millions
pour les
associations
€ 5 millions
pour les projets du Groupe
Le Groupe du Geste accompagne et finance des actions et des projets dans ses six domaines de prédilection...
six
axes de
travail
axe 1
SANCTUAIRES &
ASSOCIATIONS
Assistance aux associations et structures d'accueil qui sauvent et soignent les animaux d'élevage, sensibilisent et incarnent ainsi le changement sociétal.
axe 2
ALIMENTATION &
AGRICULTURE
Études et projets-pilotes orientés sur la transition alimentaire, favorisant l'environnement, la santé et une agriculture respectée et rémunératrice.
axe 4
JUSTICE &
LÉGISLATION
Soutien aux avocats et juristes pour (re)définir le droit animalier, défendre les intérêts des animaux et faire appliquer les lois au quotidien.
axe 5
POUVOIRS
PUBLICS
Approchement de toutes les instances publiques nationales, régionales, locales et européennes pour faire évoluer la loi, la règlementation et son application.
pourquoi ?
La question animale est existentielle pour l'humanité. C'est la question de savoir si nous (animaux de l'espèce humaine) avons le droit de tuer et de faire souffrir d'autres espèces tandis que notre intelligence nous permet de faire autrement. C'est aussi la question de savoir si nous voulons détruire l'environnement et épuiser nos ressources alimentaires en laissant libre champ à l'élevage industriel.
Étant donné l'échelle de ce défi, lorsque plus de 70 milliards d'animaux terrestres sont élevés et tués chaque année pour la consommation humaine, la simple évocation de la sensibilité et de la souffrance des animaux ne semble pas suffire pour nous convaincre de leur droit à la vie et à la dignité.
Pour déconstruire l'industrialisation massive de l'élevage animalier, qui s'est produite en moins d'un siècle, nous devons réviser nos pratiques et nos habitudes. Nous devons étudier, informer et sensibiliser pour adapter notre alimentation aux réalités environnementales. Nous devons accompagner les agriculteurs dans la transition de leur métier. Nous devons appuyer les droits fondamentaux de tout le vivant, et redéfinir le contexte constitutionnel, législatif et règlementaire.
Pour cela, il faut des moyens.